« N’abandonnons pas notre assemblée » (2)
Notre dernier édito relatait les bienfaits du confinement : un moment pour se retrouver soi-même, se retrouver en famille et se retrouver avec Le Créateur.
Comme nous étions reclus, tout nous était livré; nous étions immobilisés ou immobiles dans ce confort quotidien imposé.
Même l’église est venue à nous par la radio par confcall ou par Zoom
Un scientifique a dit : « un objet immobile a tendance à rester immobile », et le médecin nous confirmera qu’un muscle qui ne bouge pas se ramollit. Ne tombons pas dans le piège de cet immobilisme qui pourrait engendrer une certaine paresse surtout spirituelle.
Maintenant que les réunions cultuelles sont permises, reprenons le chemin de l’église pour le culte dominical retrouver cette communion réelle et non plus virtuelle.
Paul dit en
27 Vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part.
Par le baptême, nous faisons partie d’un seul corps, nous formons un seul corps.
Chaque membre du corps humain est nécessaire pour que le corps fonctionne correctement, et lorsqu’un membre de ce corps manque, le corps entier peut en pâtir.
De même, chaque membre de l’église est nécessaire pour le bon fonctionnement de l’église entière.
Un chrétien qui ne fait pas partie d’une église ou ne fréquente pas régulièrement son église, pourrait vouloir dire qu’il n’a pas besoin des autres parties du corps donc des autres chrétiens (relire 1 Corinthiens 12 : 12-27).
L’église est également le seul endroit où la Parole devient visible, par l’accomplissement des sacrements (baptême et sainte cène).
Ainsi, reprenons nos activités d’avant confinement avec zèle et enthousiasme, chacun selon ses attributions…Parents, Enfants, Jeunes, Hommes et Femmes, Scouts, Choristes, Diacres, Anciens,… Des échéances nous attendent (ce mois d’octobre fanateram-bokatra, le culte de célébration du 10ème anniversaire, les dimanches des sections, Noël,…)
L’église a besoin de tous ses membres pour avancer, fonctionner, évangéliser, …
Et
23 Tout ce que vous faites, faites-le de bon coeur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes,
« N’abandonnons pas notre assemblée » / « Aza mahafoy ny fiarahantsika miangona ».